Pouvez-vous commencer par d茅crire le travail de l'茅quipe des admissions ?
Giselle : Je m'occupe de l'inscription 脿 la fen锚tre d'accueil, o霉 j'ouvre et mets 脿 jour les dossiers des patients. J'aide les patients 脿 trouver leur chemin vers leurs rendez-vous, parfois m锚me en les accompagnant si n茅cessaire, surtout s'ils ont des handicaps. Je g猫re 茅galement l'inscription des patients pour l'Allen Memorial et veille 脿 ce que toutes leurs informations personnelles soient 脿 jour. De cette fa莽on, ils peuvent recevoir leurs rendez-vous de suivi et d'autres notifications importantes. De plus, j'assiste 脿 certaines t芒ches d'admission, comme appeler les patients pour les pr茅parer 脿 leurs op茅rations le lendemain.
Sarah-Lillian : Alors que Giselle se concentre sur l'inscription des patients externes, je m'occupe principalement des patients hospitalis茅s. Je mets 脿 jour les informations d茅mographiques des patients admis et je g猫re les responsabilit茅s financi猫res, les paiements, et m锚me les arrangements de fin de vie. Je m'occupe de tous les documents officiels li茅s au d茅c猫s et je travaille en 茅troite collaboration avec les maisons fun茅raires et les programmes de dons d'organes. Je suis 茅galement celle qui r茅pond 脿 la plupart des appels entrants, donc nous localisons constamment les patients et les informations dans tout l'h么pital.
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Quelle est la partie la plus gratifiante de votre travail ?
Giselle : Pour moi, c'est la reconnaissance que je re莽ois des patients. Ils arrivent nerveux et stress茅s, et juste en 茅tant aimable et serviable, je peux faire une diff茅rence dans leur exp茅rience. C'est gratifiant de savoir que j'ai rendu leur visite un peu plus facile.
Les gens viennent au Neuro avec des conditions graves, souvent face 脿 des diagnostics qui changent leur vie. Il y a beaucoup d'anxi茅t茅 et de peur. C'est notre travail de les aider 脿 se sentir 脿 l'aise et pris en charge. Il ne s'agit pas seulement de mettre 脿 jour les dossiers ; nous r茅pondons aussi aux besoins 茅motionnels des patients d猫s leur arriv茅e.
Sarah-Lillian : J'aime le c么t茅 organisationnel de mon travail. Je suis orient茅e vers les d茅tails, donc m'assurer que tout se passe bien me rend heureuse. Quand les choses se d茅roulent bien et que je sais que j'ai contribu茅 脿 cela, c'est tr猫s satisfaisant.
Les patients sont dans des 茅tats d'esprit diff茅rents quand ils arrivent, et nous devons 锚tre pr锚ts 脿 les guider. Nous essayons de r茅soudre les probl猫mes sur place et de les diriger vers les bons endroits. Nous collaborons 茅galement 茅troitement avec divers d茅partements, de la neurologie 脿 la neurochirurgie, pour s'assurer que tout se passe bien.
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Quel est le plus grand d茅fi dans votre travail ?
Sarah-Lillian : Le plus grand d茅fi est de ne pas avoir de r茅ponse imm茅diate et de devoir en trouver une. Il s'agit de beaucoup de r茅solution de probl猫mes sur le vif, de passer des appels et d'essayer d'obtenir des informations rapidement.
Chaque h么pital a ses propres d茅fis. Au Neuro, les patients ont souvent des conditions graves 脿 long terme, donc le travail est moins aigu mais plut么t un jeu de longue haleine. Il s'agit de construire des relations au fil du temps.
Giselle : Le syst猫me de sant茅 est complexe, et les patients ne savent souvent pas comment il fonctionne. Nous essayons d'锚tre empathiques et de leur fournir des r茅ponses concr猫tes sans les renvoyer d'un service 脿 l'autre. C'est un syst猫me difficile 脿 naviguer, donc nous faisons de notre mieux pour all茅ger ce fardeau pour eux.
Nous avons des patients qui sont soign茅s ici depuis des d茅cennies. Ils ont des liens profonds avec les m茅decins et l'h么pital. C'est gratifiant de faire partie de quelque chose qui a un impact positif et durable sur la vie des gens. Le Neuro est reconnu mondialement, et faire partie de cet h茅ritage est vraiment gratifiant.
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